Montaigne - Chez Mr le Duc

Apres environs 3 mois de voyage, Runa, Floki, le Capitaine Dell'Anna, Sir Beacon de Lovaine et john sont enfin de retour.
John réunit tous le monde présent chez le Duc dans un petit salon.

Bien, mes amis je suis ravi de tous vous revoir. Cela fait quelque temps que nous nous somme vu et je suis heureux qu'il ne vous soit rien arrivé de fâcheux. Si je vous ai réunis c'est pour vous conter notre périple. Mais commençons par le début. Si vous vous souvenez bien, la dernière fois que nous nous sommes vu je vous avais fait part de mon amnésie, du fait que celle ci était due a l'un des généraux de l'arme de Opus Theus du nom de Hans Schmidt, et de deux cartes qui étaient visiblement mes seuls liens avec mon passé. J'avais donc décidé de monter une expédition avec l'aide du Capitaine Dell'Anna, de Sir Beacon de Lovaine, de Runa et de Floki.

Nous sommes donc partis mi-quintus, direction les iles Vestens; et si le début du voyage a été plutôt calme, notre arrivé elle,  a été plutôt mouvementé.
En effet nous étions a peine arrivé en vu  des iles que nous nous sommes fait attaquer par un navire Vendelar lourdement armé et avec de nombreux mercenaires Eisenor a son bord, c'est dire l'extrême tension qu'il y a actuellement entre la Vendel et la Vodace puisqu’il nous ont attaqué a vu; mais, fort heureusement pour nous, un navire Vesten est venu a notre aide; navire commandé par une certaine Yngvild Olafsdottir.
Suite a cette attaque notre navire avez besoin de réparations et certains d'entre nous, moi y compris, avez besoins de soins nous avons donc accosté dans une petite crique ou se trouvait un village Vesten. Là le chef du village nous a autorisé a rester et nous a même fournie des hommes et du matériel pour réparer notre navire a condition que nous les aidions a notre tour a réparer une ancienne bâtisse sacré, détruite récemment par les Vendellar.

John se lève et se dirige vers une desserte ou il se sert un verre de vin.

Une fois tout le monde remis sur pied et notre navire réparé nous nous sommes donc remis en route. Après quelques jours supplémentaires de route nous avons finalement fait escale dans un autre village ou nous avons rencontrés le Jarl Rockbar. Celui-ci nous a d'abord interdit de nous rendre a notre destination puisque c'était un site sacré et il était même très intéressé par notre carte. Je lui ai donc raconté mon histoire et il a alors changé d’avis et nous a invité a nous joindre a lui et ses hommes pour nous rendre sur place ; en effet une flotte Vendelar était en train de se rentre sur place et le Jarl se rendait donc sur place pour sécuriser et protéger ce lieux sacré.
Finalement nous sommes arrivés juste à temps pour préparer la défense de l’ile car quelque instant plus tard les Vendelar attaqués avec l’aide de mercenaires Eisenor.

John fait une pause et hésite un instant avant de reprendre

Puis il est arrivé… Un … Un navire fantomatique… sorti de nulle part. Mais ce n’est pas tous…. En plein milieu de la bataille, des … des squelettes sont sortis de terre et on attaqué tous le monde; Vendelar comme Vesten.

Contre toute attente le Jarl nous a alors demandé de nous rendre au centre de l’ile afin de protéger leur artefact sacré. Arrivé sur place nous découvrons alors l’artefact et la destination finale de notre voyage : au centre d’une clairière nous avons trouvé une dalle faite de métal avec une lance planté dedans.
Nous nous sommes alors placé autour de l’artefact afin de le protéger mais le Capitaine Dell’Anna à décider de monter sur la dalle et s’est effondré. Le capitaine a alors eu une « vision » mais il vous l’expliquera bien mieux que moi après mon récit.
C’est alors que des « cavaliers squelette » sont arrivés dans la clairière et nous ont attaqués. Je vous laisse imaginer a quel point il est « compliqué » de tuer des être déjà mort et cela n’a pas été sans dommages…

John regardera alors Sir Beacon de Lovaine rapidement avant de reprendre son récit.

Une fois nos adversaires vaincus, nous sommes retourné auprès des Vestens. Fort heureusement les morts vivants avaient été vaincus ainsi que les Vendelar et nous sommes tous repartis pour le village du Jarl Rockbar.
Celui-ci alors convoqué les chefs de clan a une grande réunion qui a duré plusieurs jour et a laquelle nous n’avons pas était convié. Cependant nous avons appris plus tard que les chefs de clans avaient décidés de représailles.
Nous avons alors demandé audience au Jarl. Lors de l’entretien nous lui avons raconté, a sa demande, ce qu’il s’est passé alors que nous protégions l’artefact. C’est alors que le Capitaine nous a raconté ce qu’il lui est arrivé lorsqu’il a touché la dalle de l’artefact et qu’il vous racontera lui-même après. Le Jarl nous a alors expliqué que la carte qui était en ma possession, leur avait été volé il y a une trentaine d’années lors d’une attaque Vendelar et que cela faisait la 5 ème fois que le navire fantôme essayé de voler leur artefact.

Au cours de cet entretien nous avons eu la permission du Jarl de retourné a l’artefact afin de le touché et de faire usage de ses « pouvoirs » puisque comme je vous l’ai déjà dis il donne des visions a celui qui le touche.

Apres une bref pause John reprends son récit

Pour ma part, j’ai eu 2 visions bien distinctes :

Dans la première j’ai vu un jeune homme aux cheveux blanc, richement vêtu à la mode Ussurane, devant une fosse et avec une foule de noble tout autour. Sur ordre du jeune homme des gardes ont alors jeter un homme dans la fosse où il s’est fait dévoré vivant par des chiens.

La seconde vision est encore plus inquiétante. En effet j’y ai vu le général Hans Schmidt de l’Opus Theus. Il était sur le balcon d’une forteresse creusé dans la roche comme celles que nous avons déjà vu. En contre bas, une armée ; une gigantesque armée de plusieurs millier d’homme.

Puis la puissance de l’artefact m’a forcé a le lâcher et je me suis évanoui, et je suis resté dans cet état pendant plusieurs jours

Le capitaine et Sir Beacon de Lovaine ont egalement touché la lance et il vous raconterons ce qu’il ont vu bientôt puis que mon recit touche a sa fin.

Apres cela nous sommes retournés voir le Jarl pour lui raconter une nouvelle fois et avant de partir il nous a remis un paquet pour le Duc puis nous avons repris la mer.

John se tourne alors Le capitaine et Sir Beacon de Lovaine

Messieurs lequel d’entre vous souhaite commencer

Andrew pris un verre, regarda John et pris la parole

Comme John la si bien expliqué, notre aventure ne fut pas sans mal. Mais fort heureusement, nous sommes la devant vous.

Andrew pris une bonne gorgée et repris

J'ai pus moi aussi être en contact avec l'artefact, et ce qu'il ma fait voir, ai des plus inquiétant.
A la différence de John, l'artefact ma permis d'avoir trois visions.

Dans la première, je me retrouve sur un escalier, ou j'aperçois deux hommes richement habillé qui semblent se disputer. Je n'entend rien sur le sujet de la dispute, pour être plus claire, je n'entend strictement rien, aucun son. Puis en les examinant plus attentivement, l'un de ces homme, n'est autre que le Roi Léon Alexandre XIV de Montaigne, et l'autre, un homme habillé de blanc portant le symbole de l'église Vaticine, une mitre sur la tête et muni d'un bâton blanc en nacre.
La dispute s'emballe, et dans son élan, le Roi pousse l'homme en blanc, qui chute dans l'escalier, et ne se relèvera plus...

La seconde vision quand à elle, m'inquiète particulièrement, et je pense dans les plus brefs délai me rendre en Avalon en parler à qui de doit.
J'assiste avec effroi, à une guerre au sein même de l'Avalon, une guerre dès plus sanglante, entre les Avaloniens et les Inish.

Andrew d'un air attristé continua

Puis enfin, ma troisième vision. Elle mène à une maison, où se trouve un homme en armure d'un métal bleuté magnifique, qui se trouve sur une chaise, et se suicide...

Après avoir vu tout cela, j'ai lâché l'artefact.

Lorsque le capitaine et John, se sont rétablis du contact avec l'artefact, nous avons entrepris notre retour.
Vous comprendrez mes chers amis, que même si cela reste des visions, elle n'en sont pas moins fort préoccupante et des plus annonciatrice des dangers qui nous guette, et qu'ils nous faut y faire front.

Andrew se rassois, et invite le Capitaine à prendre la parole

NDMJ : afin de faciliter les choses, je considère que tous les personnages sont présents.
Par conséquent, chacun d'entre vous peut réagir...

Zélinda toussera doucement afin d'attirer l'attention sur elle.

"Je suis ravie de vous savoir en vie avec de tels périples, tous, et que votre mental ne flanche pas est une force.

Nous sommes lié par les fils du destin, les actions des uns, impact au plus haut point l'avenir des autres. Et il nous faut, nous soutenir, nous entraider et surtout ne pas nous mentir."

Zélinda se lèvera et se dirigera vers Le Capitain Del Ana, d'un air songeur et désapprobateur. Elle s’avancera, et se tiendra derrière lui, posera ses mains sur ses épaules avant de continuer.

"Je crois que l'un de vous a omis de nous avertir qu'un de nos ennemis, un ennemi qui n'aurait jamais connu la dague écarlate, qui n'aurait jamais fourvoyé avec l'église, et arrivé par sa faute.

J'aimerais qu'il le dise de lui même, sinon, je le ferais. Car cela, change la donne."

Bartholomew, après avoir salué les différentes personnes présentes, chacune à la hauteur de sa dignité et de l'amitié que Bartholomew peut lui porter, écoute le récit de ses comparses aventuriers. Il fronce le sourcil au récit du sieur de Lovain et affiche un air sombre à celui d'Angello. Il écoute également, un peu étonné, la prise de parole de Zelinda ainsi que la réponse d'Angello. Finalement, il se lève et dit :

Amis, compagnons de route et défenseurs d'un certain esprit de justice comme moi. Ces visions sont-elles vraies ou pas, je ne saurais le dire et quand bien même elles le seraient, j'accepterai comme chacun ici le destin qui sera le mien.
La mort nous attend tous au bout du chemin, voila la seule certitude que j'ai. Je ne sais ni comment, ni par qui ou pourquoi je mourrai mais le fait est que je serai fauché un jour où l'autre. De cela je n'en déciderai pas.
Ne me reste qu'à décider quoi faire du temps qui m'est imparti et j'ai autrefois pris la décision de défendre les faibles et les pauvres, de me faire l'esprit et l'épée de la justice pour ramener un peu plus d'équilibre en ce monde.
Peu m'importe qui est mon ennemi, peu m'importe qui me maudira ou me poursuivra, peu m'importe de savoir où je serai demain, avec qui ou pour quoi faire tant que je sais qui je suis et quelles sont mes valeurs.

Les visions que vous avez eu sont terribles si elles sont vraies. Mais je refuse de tomber dans le désespoir ou le défaitisme. Même dans les plus sombres ténèbres se trouve toujours cette petite lumière de justice qui brille et me guide comme l'espoir qu'ont les marins de sortir de chaque tempête. Prenons ces visions, si elles sont vraies, comme des indices, des reflets des choses à entreprendre pour ramener enfin la paix et la justice en ce bas monde.
Montons des expéditions, fourbissons nos armes et faisons nos paquetages. Que nous importe d'être dans le brouillard tant que nous continuons à avancer ? Il se fera bien un peu plus de lumière à un moment ou à un autre. Les visions de nos trois compagnons pourraient être ces lumières qui nous révéleraient ainsi plusieurs dangers auxquels nous pourrons mieux nous préparer.
Et si le destin me veut en Avallon à combattre les serviteurs des ombres, alors j'irais avec sérénité car je n'y échapperait pas, de toute façon. Mais croyez moi sur paroles, mes amis, je ne baisserai pas les armes et ne laisserai pas l'ennemi se débarrasser de moi si facilement.

Se tournant vers Angello et Zelinda :

J'ai vogué longtemps sur la flora del mare et c'est un très bon navire qui peut surmonter bien des obstacles. Angello est un bon capitaine qui apprend chaque jour un peu plus et qui saura éviter les dangers que recèlent les océans.
Et dans l'immédiat, si Zelinda ne peut embarquer à cause d'un fantôme, alors j'acquerrais un navire. Rien ne doit nous empêcher de poursuivre notre objectif car la justice est de notre côté. A nous de ne pas oublier que nous travaillons tous, ensembles, et dans le même but.
Ne reste plus qu'à décider quel sera le meilleur chemin à arpenter pour atteindre notre but.

Si monseigneur de Lovain s'en va en Avalon, je l'accompagnerais par honneur, devoir et plaisir. Et si un autre chemin est plus important, alors j'irais également car c'est que tel aura été mon destin.

Zélinda virera au rouge après avoir entendu les paroles de Bartholomew et du Capitain...
Elle retira les mains des épaules du capitaine et se mettra de sorte a les voir de face.

"Je suis déçue, suite à nos nombreuses mésaventures, que vous vous pensiez qu'un simple bateau qui semble n'en vouloir qu'a vous seul, puisse m’effrayer...
Et surtout, je suis déçue que notre Capitaine ne sache de quoi je parle vraiment..."

Zélinda prendra une respiration pour reprendre son calme

"Je vous parlais d'une ennemie... Madame Usuo Violetta... Pour ceux qui ne connaisse pas encore cette douce dame, il s'agit d'une sorcière sorte, qui nous a suivit en Castille, et dont personne ne semblait connaitre le nom, pas même vous, Capitaine"

Zélinda jaugera ses compagnons un instant et reprendra

"Après plusieurs recherche de ma part, j'ai découvert, qu'elle était promise a notre Gentleman Capitaine..."

Zélinda aura un sourire narquois au mot gentleman

"Notre bon capitaine semble l'avoir abandonné, et celle ci est une sorcière sorte, Voddace et surtout une femme et a donc une fierté démesurée... Elle a avec l'aide d'amies a elle, maudit le bateau de notre capitaine.. Car comme je vous l'avez déjà dit, c'était plusieurs sorcières qui avez commis cet acte...

Par conséquent, si vous comprenez bien là où j'essaie de vous mener, c'est que les sorcières sorte ont suivi nos missions, nos actions et maintenant... Ont un lien avec nos ennemis de l'église, par la seul faute du Capitaine.

Sauf votre respect, je pense qu'ELLE (dit sur un ton très sec) a une importance relativement importante dans votre vie et maintenant dans celle de nous tous dans cette salle!

De plus, Capitaine, vous serez ravi d'apprendre qu'elle a un nouveau prétendant.... Dans la famille Di Bernouilli...."

Bartholomew sourit en voyant Zelinda s'énerver mais il l'écoute cependant attentivement et arbore un air surpris à la nouvelle qu'Angello aurait été fiancé ... Il répond :

Aucun navire ne m'en veut, Zélinda, et je ne comprend pas votre état d'énervement. Cette Mme Usuo est-elle de vos connaissances ? Ou bien est-ce le fait qu'elle soit sorcière sorte qui vous chagrine tant ?
Si c'est cela qui vous ennuie, sachez que je comprends votre crainte mais que je ne prétends pas pour autant devoir en vouloir à Angello dont je n'oublie pas l'aide et l'appui qu'il a toujours apporté lors de nos aventures. Et tout comme je risquerais ma vie pour sauver la votre, je risquerais la mienne pour celle d'Angello.

Cela étant dit, chère Zélinda, je conçois le fait de ne pas en savoir autant que vous sur les sorcières sortes et je pense que votre aide sera précieuse autant pour Angello que pour chacun de nous ici car son navire est un moyen de transport important pour nous.
Quelles sont les solutions qui se présentent à nous pour écarter cette Mme Usuo de notre route ? Peut-on traiter avec ? Faut-il la neutraliser par la force ? ...

Dans un sourire, Bartholomew rajoute :

Quant à votre courage ou votre détermination, je suis bien placé pour les connaître et savoir qu'aucun fantôme ou malédiction ne vous arrêterait si facilement. Je crois juste que le capitaine Del Anna cherchait juste à vous protéger et que sa tentative, maladroite peut-être, mérite plus l'un de vos si jolis sourires que votre colère.
Pour ma part, je n'ai pas oublié la tristesse qui fut la mienne de vous avoir cru perdue, précédemment.

Alors Zélinda, y-t-il quelque chose à faire pour Mme Usuo ? Est-elle une priorité par rapport aux événements que nos amis nous ont annoncés ? Si c'est le cas, je vous suivrai. Dans le cas contraire, je serais ravi de vous montrer mon beau pays, l'Avalon.

"Merci Bartholomew, mais je ne suis pas d'humeur a sourire...

Sachez que ma colère cache de la tristesse car si le lien naissant entre les sorcières et l'église se savait du monde, il y aurait une purge dans le rang des sorcieres...

J'ai moi même un membre de ma famille qui l'est.

De plus, depuis tous ce temps ou je crois que les sorcières sont liées a la dague écarlate et que angello n'a rien dit me déçoit personnellement.

Pas une fois il n'a contredit mes dire ou m'a remis dans le droit chemin. La vérité de votre romance vous est elle si dur a accepter Angello ? "

Est-ce à dire, Zélinda, que cette Mme Usuo trahirait en quelque sorte les sorcières sortes en s'acoquinant, si je puis dire, avec des membres de l'église ?
Si c'était le cas, ne faudrait-il pas, pour les sorcières, s'en débarrasser ou tout au moins la faire cesser ?

Je peux concevoir le danger que représente une telle liaison pour votre parente mais quel danger présente Mme Usuo pour nous ? Ce danger vous semble-t-il plus grave que ceux présentés par nos compagnons ? Plus grave qu'une guerre en Avalon dans mon cas ?

Jean-Philippe regarde d’un air calme l’assemblée avant de prendre une grande respiration.

Messieurs, Mesdames, Compagnons d’armes et d’aventure. Notre enquête en Montaigne au sein des cours des miracles a porté ses fruits. Maître Pitcairn, Dame Pia, le Lieutenant de Chaubourg et moi même avons donc pris part à cette enquête dans les quartiers populaires de Charousse.

Pour ce faire, en premier lieu,l nous avons pris le temps de ressembler à la classe moyenne du peuple et du bas peuple. Cela n’a pas été une mince affaire d’oublier nos préceptes et de nous confondre avec le commun des gens. En tout nous avons pris environs 7 jours pour nous familiariser avec le comportement, le langage et même leurs métiers. Ensuite nous primes le chemin de Charousse, en tout particulier le quartier portuaire.

Avec les informations que nous connaissions déjà, nous étions déjà sur la piste de deux cours, mais sans la certitude de celle du Roi Léon des Gueux. Alors, pour nous faire savoir présent et à sa recherche, nous sommes entrés en contact avec une cour mineure vis à vis des autres mais qui s’avéra être l’un des alliés de son plus grand rival. Nous avons donc récupéré des brindilles, mais elles nous ont permis de nous approcher de son rival le “Boucher” et aussi d’apprendre que les recrutements de la dague étaient encore actif.

La rencontre avec le Boucher nous aura valu une belle confrontation contre ses hommes et la certitude qu’il était le lien entre la dague et le recrutement, même si je ne pourrais vous le certifier, mon intuition peut vous affirmer qu’il jouait le rôle du passeur en faisant sortir les “Nouvelles recrues” de Charousse, voir même de Montaigne. Lors de la batailles contre ses hommes, des alliés nous sont venus en aide puisque les hommes du Rois des Gueux sont intervenus pour nous faire sortir de cette zone de combat et nous conduire au Roi lui-même.

Jean-Philippe se rince la gorge en buvant une gorgée d’eau.

Aux suites de très longues conversations avec sa majesté des Gueux, nous apprirent que les recrutement était donc bien fait par des hommes habillés en prêtres accompagnés par des hommes eux vêtus en soldats royaux. Et il nous confirma les enrôlements de gré et de force par des moyens allant du chantage au recouvrement de dettes par l'enrôlement.


A la suite de notre rencontre avec sa Majesté Léon des Gueux, nous repartimes de Charousse pour nous préparer à une confrontation de plus grande envergure contre le Boucher. Monsieur le Duc Etalon de Viltoille et le Capitaine De Chevalier furent informés et une enquête officielle fût décrétée contre le Guet, suspecté et à juste titre de corruption à grande échelle.

Et grâce à l’aide précieuse des contactes de Dame Pia, nous rassemblons une véritable force pour contrer les malversations du Boucher et mettre fin à toute cette machination. Un âpre combat eut lieu dans les rue des bas quartiers de Charousse, nous en avons payé un lourd tribut, mais le Boucher fut mis à bas.ainsi que toute sa cour. De ce fait, ses alliés proches devinrent plus docile.

A la suite de notre enquête, Le Roi de Montaigne ordonna l’exécution du commissaire judiciaire, et le remplaca par un homme issue du peuple et qui agit pour le bien du peuple et l’égalité aux yeux de la justice. Cette homme, le Lieutenant Gabriel Nicolas de Reynie, fait actuellement une inspection méticuleuse dans les rangs des forces de police de la ville et met un grand coup de frein aux recrutements de la dague. Même si tout comme vous j’aimerais que ce soit de manière définitive, nous n’avons hélas pas eu la tête du serpent, mais pour le moment, nous lui avons coupé un moyen de ravitaillement en hommes de mains. Je m'assurerai que ce soit de manière permanente. Le peuple ne souffrira plus de personnes comme eux.

J’invite mes compagnons d’armes à compléter mon rapport s’ils jugent qu’il manque une information qui m’aurait échappé.

Jean-Philippe reprit place face à la fenêtre en regardant l’horizon, sachant le travail qu’il reste à accomplir.

Il convient de saluer ici l'engagement du capitaine de Lierre Vallée puisque celui-ci n'a pas hésité à remiser son uniforme et à braver son engagement pour rendre justice et finalement, mieux servir encore son roi et son peuple. Le lieutenant de Chaubourg a suivi cet engagement et prouvé qu'au delà de ses mauvaises manières, il savait reconnaître le droit chemin et le suivre quand il le fallait.
Effectivement, c'était une aventure assez particulière. Il nous aura fallu abandonner nos vies, nos cultures et nos habitudes pour nous fondre dans la masse des gens du commun. Cela n'a pas été sans mal mais chacun a fais sa part.
Zélinda a également particulièrement oeuvré à la réussite de cette mission et a véritablement donné d'elle-même pour vaincre la Dague. Je peux dire aujourd'hui que j'étais très inquiet pour sa sécurité et toujours aux aguets mais, une fois encore, Zélinda a fait s'envoler mes craintes en se drapant de mystères et de ruse.

Se tournant vers Zélinda :

Finalement, mon questionnement à votre sujet n'est toujours pas clos. Je ne sais pas encore qui vous êtes vraiment mais je me sens en quelque sorte soulagé de constater l'étendue de vos ressources et la capacité que vous avez à vous en tirer toujours si bien, parfois mieux que nous même. J'espère que vous me pardonnerez quand même d'avoir toujours un peu de crainte pour vous, c'est que j'ai toujours en tête l'image d'une frêle jeune fille malgré vos multiples aventures ...

De retour vers l'assemblée

Le capitaine l'a dit, il semble que le recrutement d'hommes de mains pour la dague soit asséché concernant la Montaigne. Je ne doute cependant pas que la Dague ait d'autres filières mais notre réussite m'incite à poursuivre et à frapper encore ce serpent, que dis-je, cette hydre !
Cette réflexion me vient également, chers compagnons, que le recrutement d'hommes de mains pour la Dague semble confirmer la vision de nos amis sur la préparation d'une armée. Et si nous avons pu remonter la filière de la Montaigne jusqu'aux frontières avec la Castille, peut-être, pourrons nous la remonter jusqu'à cette forteresse ?
Je partirai d'ici peu en Avalon, comme je vous le disais auparavant mais si, à mon retour, une enquête doit-être menée sur ce point, alors n'hésitez pas à me solliciter. Je veux être de toutes les actions que nous mènerons contre la Dague Ecarlate car je veux qu'elle me trouve toujours sur son chemin. Je ne lui pardonne pas ses multiples crimes ni n'oublie les flots de sang d'innocents qu'elle ne cesse de répandre.

"C'est votre présence à tous, qui me rend plus confiante et plus forte, car je sais que je ne suis pas seule.

Outre cela, je ne suis pas que talentueuse. J'ai une sorcière dans ma famille, qui m’apprécie. Sachant qu'elle peut influencer sur la destinée...

Car comme la dit le Capitaine DelaMaré, personne ne connait vraiment les sorcières.. Elles ne jettent pas que des sorts néfaste.. Et elles ne sont pas toutes mauvaise. Ou pas en vers tout le monde.

La preuve, Dame Usuo, n'a rien fait au Seigneur Allengro Sebastain quand ils se sont rencontrés."

Zélinda marquera une pause et reprendra

"Pour en revenir au parole du Capitaine de Lierre Valée, ce sont les hommes de la ligue de Vendel qui nous ont prêté mains forte, via la guilde des Jennys. "

edit MJ : ne confondez pas écrit et oral (la quasi totalité des noms des pjs et pnjs sont mal orthographiés... si les pjs devaient se battre en duel à chaque fois qu'on écorche leur nom, il n'en resterai plus beaucoup de vivants... fin de cette apparté!

Vous insinuez que j'ai eu une relation avec une personne qui ferait désormais partie de nos ennemis de l'Église. Vous me dénoncez donc comme un traître, et ce devant tout les membres de notre enquête ainsi que notre protecteur : Monsieur le Duc Tristan Étalon de Viltoille.

De plus, qui êtres vous donc pour insulter le nom de mon père : Giovanni Dell' Anna commandant retiré de la Marina Millitare Vodacci ainsi que celui du navire qui à été le rêve de toute sa vie ?

Tant que vous n'aurez ni témoignage ni preuve de ce que vous avancez, vos attaque ne seront jamais que de la diffamation. Et, si je ne me trompes pas il s'agit d'un délit condamné par la loi.

Pointant mademoiselle Pia du doigt

Si vous n'avez rien d'autre à apporter : je vous demande de revenir sur vos accusations. Et enfin je vous conseille de ne plus jamais insulter ma famille en ma présence. [/justify]

edit MJ : voir ci-dessus!


Je ne vous accuse pas d'être un traite, cependant je vous accuse d'avoir omis d'indiquer l'implication de Madame Usuo dans notre périple.

Je vous ordonne de cesser de dire que les sorcières sont corrompus, car comme dit a plusieurs reprise, l'une d'elle fait partie de ma famille. Et par conséquent, c'est vous, qui m'insultez, devant nos amis.  

Si vous n'avez pas de doute sur la véracité de mon accusation, je vous en pris, venez donc voir ma preuve en Vodacce, ma grand tante sorcière, qui a été la maîtresse de Dame Usuo...

Et je ne me laisserai pas insulter, alors retirez ce doigt, avant que je ne le fasse..."

A cette dernière phrase, Zélinda posera sa main sur sa rapière.

Le Duc se lève et ordonne d'un ton sévère et péremptoire :

-"Signor Dell' Anna, Signorina Pia! Cessez cette querelle séant!

Retirez cette main de votre rapière Signorina Pia!

Où croyez vous vous trouver?

Nous ne sommes pas dans une quelconque soirée de Vodacce et vous n'êtes pas 2 courtisans en train de se quereller pour une vague question d'honneur!

N'avez pas écouté les récits de vos compagnons?

Signor Dell'Anna, la vision que vous avez eu n'a t'elle pas eu la moindre influence sur votre raison?
La fierté est une chose, le manque de confiance et de respect envers vos compagnons en est une autre!

Si nos ennemis apprenaient celà, je ne doute pas qu'ils se gausseraient volontiers de nous!

Je ne puis tolérer que vous en veniez à vous battre, dans Ma demeure et devant Ma personne alors que vous êtes Mes invités!

Alors que vous êtes parmis les rares personnes à savoir que Théa court un grand danger, vous préférez vous quereller plutôt que vous serrer les coudes et penser à votre prochain!

(en vous regardant tous les deux droit dans les yeux) Vous me décevez! J'attendais plus de la part d'un noble Vodacci et d'une Dame de compagnie...

... petite pause pendant laquelle il vous jauge, puis il se tourne vers Angello :

Signor Dell'Anna, à l'avenir, je vous suggère d'adopter une conduite plus franche avec vos compagnons (et ca vaut pour toutes les personnes présentes), ou d'apprendre à mieux cacher vos émotions.
Pour la poursuite de vos enquêtes, il serait bienvenue que vous nous apportez la lumière sur votre... relation avec Dame Usuo.

Le Duc ne se rassit pas. Il reste debout, appuyé des 2 bras sur sa canne, et fixe Angello d'un regard lourd de reproches.

(HRP: vous perdez tous les 2 15 points de réputation sociale - et dîtes vous bien que je suis gentil!)

Edit : Je modifie mon intervention, ayant été trop long à intervenir :

Bartholomew se lève et s'adresse au Duc :

Je vous prie, Monseigneur De Villetoile ainsi que chacune des personnes présentes ici, de bien vouloir excuser mes compagnons. Je vous prie également d'avoir la bonté et l'obligeance de ne pas leur tenir rigueur de cette petite algarade. Les efforts que nous menons tous pour tenir notre ennemi en échec, nos voyages, nos combats aussi pèsent sur chacun de nous et nous démontrent l'étendue de nos limites mais aussi l'impérieuse nécessité pour tous de compter les uns sur les autres avec confiance, loyauté et tolérance.
Nous avons tous subi les blessures et les chocs infligés par la Dague, nous n'avons que trop bien en tête le précipice au bord duquel le monde entier se tient. Nous voudrions tous pouvoir être toujours à la hauteur, forts et braves mais parfois, le destin nous rappelle que nous ne sommes qu'humains et mortels.
Je gage qu'après avoir pu s'expliquer, le capitaine Del Anna et madame Pia reviendront à de meilleurs sentiments. Pour ma part, je garde en souvenir leur engagement, leurs combats à nos côtés contre un ennemi commun et je souhaite pouvoir, très vite, oublier cet épisode. D'ailleurs, peut-être que Zélinda et Angello pourraient discuter de ce point délicat quelques instants en toute tranquillité puis, en fonction de ce qu'il ressortira de leur conversation, nous faire part des détails qui nous concerne tout en préservant l'intimité et l'honneur auxquels ils ont droit ?

Vos paroles sont pertinentes, Sir Pitcairn, et vos efforts diplomatiques sont louables.

J'aurai aimé que ces deux personnes prennent le même chemin.

Malheureusement, elles ont fait fi des règles de bienséances qui s'imposent en de telle circonstance et je ne puis accepter un tel manque de respect, que se soit envers leur hôte ou envers leurs compagnons,

Comme vous l'avez si justement fait remarquer, il vous est nécessaire d'être confiants, loyaux, et tolérants les uns envers les autres.

Pour ces raisons, je ne puis agréer votre requête et attends la réponse du Signor Dell'Anna.

Vous pouvez vous rasseoir, Sir Pitcairn.

Bartholomew s'incline vers le duc et dit :

Qu'il en soit ainsi, monseigneur. Vos paroles sont lois en cette auguste demeure.

Bartholomew reprend sa place, laissant les deux vodacci face au duc.

John prendra la parole sur un ton amical

Hum! J'en conclue donc que vous avez bien eu une "relation" quelconque avec cette Signora; et vu votre réaction je n'ai aucun mal a imaginé que cette relation s'est, d'une manière ou d'une autre, mal finie et que par peur ou peut être par honte vous préférez ne pas en parler...

Cependant, là ou vous vous trompez Capitaine, c'est sur le caractère privé de cette affaire. En effet, si comme le suggère Mlle Pia, cette sorcière s'est alliée a la dague écarlate elle est aujourd'hui notre ennemie a tous. En s'en prenant a vous, elle s'en prend également a nous. Et les "événements" de notre récent périple le prouvent. Il est donc de votre devoir de nous fournir toutes les informations nécessaire a cette guerre; car oui, si la vision que j'ai eu est bien réelle alors nous sommes en guerre... une guerre secrète, une guerre de l'ombre mais bel et bien une guerre...

Vu ce qu'il vient de ce passer, je pense que vous avez dù vous sentir quelque peu... agressé, mais croyez bien que vous n'avez que des amis ici. Melle Pia pourrait peut-être, calmement, nous donner les preuves qu'elle dit détenir sur l'alliance de cette sorcière avec la dague écarlate; et vous pourriez ensuite nous donner les informations importante pour notre enquête.

Cet arrangement pourrait il vous convenir, Capitaine?

Bartholomew hoche la tête aux derniers propos et tourne le regard, alternativement, vers Angello et Zélinda.

Je ne doute pas de votre amitié John. Je suis également d'accord que cette chasse à la dague écarlate a largement dépassé de son cadre initial et que vous n'exagérez pas en parlant de guerre. Cependant, ma réponse reste la même.

Mais interrogez donc mademoiselle Pia. Je ne peux l'empêcher de faire ses propres révélations.

Signor Dell'Anna, qui sème le vent récolte la tempête!

Ce proverbe issu de la 1ère Vigile résume vos actes passés et présents.

Sur les premiers, j'en suis arrivé aux mêmes conclusions que Monsieur Doe. Et il est clair qu'ils ne sont pas en votre faveur.

Quant aux seconds, votre obstination va certainement mettre la vie de vos compagnons en danger.

Malheureusement, je n'ai pas le pouvoir de prédire votre avenir à chacun.

Cependant, les aléas du destin vont conduire certains d'entre nous très prochainement en Vodacce... où celle qui est devenu votre Némésis à certainement plus de pouvoir que nous tous réunis.

Je doute d'ailleurs que le Prince Di Vestini, si il apprend cette histoire, laisse passer cette occasion d'en savoir plus sur ses ennemis.

Se tournant ver Zélinda

Il serait effectivement intéressant d'en savoir plus sur Dame Uzio. Nous sommes tout ouîe Signorina!

S'inclinant devant tous

"Veuillez m'excuser pour ce comportement déplacer dont je ne comprend pas moi même l'envergure qu'il a prit."

Se redressant et jaugeant la réaction du duc mais aussi de ses comparses, elle poursuivra:

"La première fois que nous avons rencontré une sorcière sorte, c'était en Vodacce après une explosion nous avons rencontré la dague écarlate et avons pris le large sur le bateau du capitaine Dell'Anna... Il se trouve que sur le port il y avait une calèche avec une sorcière nous "disant" au revoir de son mouchoir blanc. J'en déduis aujourd'hui, qu'il doit s'agir de dame Uzuo...

Intriguée, et le bateau montrant des signes anormales, j'ai fait des recherche et appris qu'elle avait jeté un sort, d'une grande puissance car il a du être préparé et lancé par plusieurs sorcieres. Ce qui nous apprend que dame Uzuo a des amies de son rangs et la scène s'étant déroulé en même temps que notre fuite,j'ai donc déduit qu'ils étaient liés...

Lors d'une autre mission en Castille, seigneur Sebastain a été suivi et a su mettre son suiveur en faute. Il s'agissait de dame Uzuo. Hélas elle cherchai une église... "

Se tournant vers Sebastain :

"Si vous pensez que d'autres choses doivent être dite, seigneur Sebastain, n'hésitez pas a compléter mes dires."

Se tournant de nouveau vers tous

"Quand il a compté sa mésaventure et qu'il nous a dit qu'elle s'était présenté sous le nom de dame Uzuo, le capitaine Dell'Anna a malgré lui, montré que se nom ne lui était pas inconnu mais n'en a rien dit.

Alors j'ai fait des recherches, auprès de ma grand tante, et appris ce que je vous ai dit plutôt."

Bien! Il est intéressant que vous ayez des connaissances parmi les sorcières de la Destinée.
Cela pourra vous être utile lorsque vous retournerez dans votre contrée natale.

Je dois avouer tout de même que la relation, quelle qu'elle fût, entre le Signor Dell'Anna et la Signorina Uzio dépasse mes compétences et mes prérogatives dans la mission qui nous a été confiée.

Je laisse donc cela aux bons soins du Prince Di Vestini qui prendra les mesures qui s'imposeront au regard des circonstances.

Ce sujet restera donc clos jusqu'à votre retour en Vodacce.

Maintenant, il reste à définir la suite des opérations...

Il est dommage que vous persistiez à ne vouloir rien dire Capitaine. Les informations que viens de nous donner Melle Pia sont intéressantes mais elles nous sont déjà connue, du moins en partie.
Ce qu'il aurait été intéressant à savoir c'est si cette sorcière à de la famille, quels sont ses amis, qui elle fréquente, a t'elle des ennemis, à t'elle des habitudes etc. Ce genre d'informations nous auraient permis de l'approcher plus facilement puis  de l'empêcher de nuire... mais je n'insisterai pas

Puis se tournant vers tournant vers le Duc

En ce qui concerne la suite des evenements, Sir Beacon de Lovaine et moi-même avons déjà pris la décision de nous rendre en Avalon afin de faire part à  sa Gracieuse Majesté de la vision que Sir Beacon à eu et des éventuelles conséquences.
Ensuite nous enquêterons sur les causes possibles de cette guerre, qui manigance tous cela et est ce que cela a un lien avec la Dague Ecarlate.

D'après les dires du capitaine de Lierre Vallée les choses sont sur le point de s'arranger en Montaigne et cela doit être un coup dur pour nos ennemis mais il serait dommage que la Dague Ecarlate  trouve un "nouveau terrain de jeu" dans une Avalon en guerre

Regardant ses compagnons

Bien entendu toute aide sera la bienvenue et nous partirons dès que possible

Je partirai avec vous en Avalon, mon coeur et mon honneur m'y portent. Je me dois de protéger ma Reine, ma famille et mes compatriotes d'une guerre dont il ne sortira probablement rien de bon. Par ailleurs, si guerre il y a, je serai probablement appelé à y participer de toute façon. Noblesse oblige comme l'on dit par ces terres.
Cela étant dit, j'irais en Avalon aussi parce que c'est une terre naturellement hostile à la Dague et ses intrigues. Le Peuple Magnifique a bien trop subi les avanies de ces ignobles criminels et je pense qu'il gardera un oeil sur leurs faits et gestes autant qu'il le pourra. De plus, j'ai l'assurance la plus grande que la très gracieuse Reine Elaine s'oppose à la Dague et veut la voir contrecarrée. Notre précédente enquête nous ayant conduit jusqu'à elle et ayant eu l'honneur et le plaisir de converser avec, j'ai reçu des ordres clairs de sa part. Combattre l'organisation impie qui a osé souiller nos terres et notre peuple.
Pour ces raisons, messeigneurs, madame, l'Avalon est une terre propice à notre cause que nous devons garder en sécurité. Ce pays s'opposera toujours aux criminels de la Dague.